Jeune étudiant catholique, Jean-François Bourcier s’engage dans les cours d’alphabétisation de l’ESSANA (Études sociales service d’accueil Nord-Africain) dès 1952 à la demande d’Albert Carteron à l’âge de 17 ans. Appelé en Algérie en novembre 1955, de retour à Lyon au bout de deux ans et demi, il soutient clandestinement des Algériens du FLN.
Un parcours singulier, à la fois de solidarité avec les nationalistes algériens et d’engagement sous les drapeaux.